Compassion et liberté

Ce que j’en dis, j’ai envie de parler de compassion, je trouve qu’il n’y en pas beaucoup actuellement, (définir la compassion qu’on peut confondre avec la pitié).

Je crois à la responsabilité de nos choix ou non choix (qui restent quand même des choix de subir) et je crois aussi qu’on ne choisit pas toujours ce qu’on voudrait car on fait intervenir tous nos formatages d’obligation, de culpabilité et qu’on en n’est pas toujours conscients, « c’est comme ça ». Et je pense aussi que les choix d’un moment peuvent être différents dans un autre moment, car l’environnement change tout le temps.

Déjà à la naissance, on hérite de tout un bagage, dans nos cellules, à assumer ; puis arrivent les conformités, les règles, les devoirs, et toutes les croyances limitantes qu’on se trimballe sur l’amour, l’argent, le travail, la société…

Alors oui, on est « libre » en principe, mais en réalité observons toutes nos chaines, les conscientes et les inconscientes.

Alors je me dis, un peu de compassion, combien sommes-nous, qui ne savons pas faire autrement que comme nous le faisons ; nous ne savons pas toujours qu’on peut faire autrement, l’étude de notre cerveau nous décrit bien tous les blocages chez nous.

On peut changer certains de nos comportements, juste besoin d’un déclic, d’une opportunité le plus souvent et le plus souvent on laisse passer le déclic ou l’opportunité, à cause du « blocage »…

Pour ma part je choisis parfois et je m’autorise d’autres fois, afin d’être de plus en plus près de mes valeurs, mais combien de changements ai-je apportés à ma vie… et combien encore à en effectuer avec plus de compassion pour moi aussi.

Que pensez-vous de ce texte d’Emmanuel Carrère?

Comment résonne t’il en vous? et comment raisonnez-vous alors?

Qu’est-ce le bonheur pour vous? comment le vivez-vous ou pas?

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Merci merci merci

Michèle Action Comm https://action-comm.com/coaching/