Existence et Regards de l’autre
Interdépendance, chacun de nous ne peut vivre sans l’autre et n’a pas besoin de l’autre…
Compassion et liberté
Alors oui, on est « libre » en principe, mais en réalité observons toutes nos chaines, les conscientes et les inconscientes.
Alors je me dis, un peu de compassion, combien sommes-nous, qui ne savons pas faire autrement que comme nous le faisons ; nous ne savons pas toujours qu’on peut faire autrement, l’étude de notre cerveau nous décrit bien tous les blocages chez nous.
Besoins et Responsabilités (C’est à cause des autres!)
“C’est drôle ce besoin qu’ont les gens d’accuser les autres d’avoir gâché leur existence, alors qu’ils y parviennent si bien eux-mêmes, sans l’aide de quiconque” Amélie Nothomb
besoin : à partir de quel(s) ressenti(s), celui-ci peut-il se dégager ou devenir conscient ?
Apprécier, évaluer, juger
Avez-vous remarqué combien nous sommes forts pour se raconter des histoires, il nous manque toutes les informations et alors on brode avec des « si » ou « peut-être » , « je suis sûr-e que.. » sans compter toutes les sortes de suppositions sur ce que feront les autres ou mieux penseront les autres ; nous sommes très forts aussi pour faire des lectures de pensées.
Apprentissage et Liberté
Donc, pour eux, tout est normal, maman veille sur nous.
….. Les deux enfants se regardent » comment est-ce possible ? Sans aucun doute, elle va revenir… elle nous aime ! « . Ce qu’ils ne réalisent pas, c’est qu’elle….
Perce sévère !
Tous les jours voir ce qui a permis d’avancer, reconnaitre les actions effectuées qui vont vers notre but, faire son « cantonnier » en s’arrêtant pour se reposer et qui observe derrière lui le chemin nettoyé, le chemin parcouru, un jour après l’autre.
Croire en soi
c’est son histoire telle que lui, se la représente, avec ses propres schémas de pensées.
Et si cela nous touche alors on peut remercier, car on a d’autres voies de nous à découvrir.
Un paradoxe de la vente
Chacun de nous est quelqu’un qui veut acheter et chacun de nous ne veut pas qu’on lui vende quelque chose… ola le paradoxe.
Et oui la vente c’est se mettre à la place de l’autre : s’i